Les entreprises peuvent se financer de 2 manières : soit par des fonds externes (prêts, financements, leasing, etc.) soit par leurs fonds propres, ce que l'on appelle l'autofinancement. Lorsqu'un dirigeant a besoin d'investissements, il peut mobiliser des capacités de financement internes pour le financement d’un nouveau projet. À noter qu'il n'existe pas de définition comptable ou légale de l'autofinancement. Découvrez ainsi de quoi s’agit-il exactement.
Une brève description de l’autofinancement
L’autofinancement, c’est le fait de maintenir des résultats positifs de ses activités au sein d'une entreprise. Une entreprise est dite autofinancée si ses activités sont lucratives et les résultats produits ne sont pas répartis. Sur le plan comptable, l'autofinancement correspond au bénéfice net après impôt, non-distribué, et se retrouve au niveau des réserves et/ou des suites reportées au passif du bilan. La notion d'autofinancement a aussi quelquefois une perception plus ample, soit la capacité d'une entreprise à se financer par ses propres capitaux et son rendement. Cette explication implique tout ou partie de l’investissement en capital. Aujourd’hui, plusieurs sites web spécialisés proposent des solutions pour les entreprises qui cherchent à s’autofinancer, surtout si vous œuvrez dans le secteur high-tech. Il est essentiel de savoir plus sur vos marchés des technologies numériques et services innovants pour bien s'autofinancer.Se tourner vers l’autofinancement : les moyens
Le coût de l’autofinancement se récapitule aux dividendes versés aux actionnaires, donc le coût, a priori, est inférieur à un emprunt bancaire. Le chef d'entreprise peut alors faire appel à :- ses gains en capital, c’est-à-dire la différence positive entre la valeur de la marchandise produite et le coût des salaires, du financement et des montants de production.
- ses économies. C'est tout le montant de la réserve, pas le montant alloué à la consommation.
- ses fonds propres, soit les fonds financé par les actionnaires, les partenaires, les réserves ou les performances de l'entreprise.
- son amortissement comptable qui correspond à la répartition du coût d'investissement sur sa durée d'utilité